(... ) il y avait dans la salle quelques routiers, penchés sur leur plateau vide comme s'ils dormaient, ou comme s'ils méditaient la question de leur propre mortalité (...)
Henning MANKELL - Les chaussures italiennes- p.169 éd POINTS
mercredi 2 novembre 2011
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1 commentaire:
ouais j adore les routiers
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